Présenté aujourd'hui à la Cinémathèque québécoise, La mauvaise éducation est la tentative de Pedro Almodovar d'aborder le suspense sulfureux à travers la rencontre de deux anciens amis. Sans parler d'opus (le cinéaste se perd parfois dans ses symboles et ses hommages - surtout à Hitchcock), il faut reconnaître que la réalisation et la direction d'acteurs s'avèrent impeccables et que l'intérêt se bonifie au fil des visionnements. ***1/2
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