Des documentaires sur Dominique A, il peut en avoir 20, complètement différents. Avec La mémoire vive, le réalisateur Thomas Bartel propose une approche originale: exposer les influences et les obsessions d'un des plus grands chanteurs de la francophonie, mettant en relief ses premières oeuvres par rapport à ses derniers classiques. Cela donne un essai incomplet et un peu frustrant, mais riche et révélateur, qui laisse beaucoup de place à sa musique et à sa poésie. ***
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