Il y a des semaines comme ça où l'on manque les principales sorties au cinéma (Ouija, St Vincent, John Wick et L'homme qu'on aimait trop). Cela n'empêche pas d'avoir vu des films plus indépendants, dont un qui mérite le détour.
Au niveau des documentaires rédempteurs, difficile de faire mieux que le Evolution of a Criminal de Darius Clark Monroe, où le réalisateur décide, 10 ans après sa sortie de prison pour avoir cambriolé une banque, de remettre en scène ce crime en interrogeant parents et victimes. Une démarche forte pour une oeuvre qui ne laisse pas indifférent. ***1/2
Premier long métrage qui aurait pu être génial (on sent un soin apporté aux images, à la musique et à ce sens inné de la poésie), Un parallèle plus tard de Sébastien Landry qui s'intéresse aux déboires d'un jeune homme qui quitte tout pour se réfugier dans son village natal manque d'assurance et de souffle, étant limité par des dialogues trop écrits et des situations tirées par les cheveux. **1/2
Si l'on reconnaît une grande honnêteté et une certaine originalité au Love Projet de Carole Laure, reste que ce film choral sur des jeunes artistes de 20 et 30 ans qui aspirent au bonheur demeure extrêmement superficiel et d'un intérêt très inégal. De bons comédiens et de spectaculaires numéros chantés et dansés ne font pas le poids devant le ridicule de certaines situations.
Sortant quelques jours avant l'Halloween même s'il n'est ni effrayant ni particulièrement gore, Horns d'Alexandre Aja est une sorte de Twin Peaks pour les pauvres, où les habitants d'une petite ville deviennent fous devant un homme qui est accusé du meurtre de son amie de coeur. Daniel Radcliffe a beau livrer une bonne performance, la satire tombe rapidement à plat. **
Ma critique complète
Premier long métrage qui aurait pu être génial (on sent un soin apporté aux images, à la musique et à ce sens inné de la poésie), Un parallèle plus tard de Sébastien Landry qui s'intéresse aux déboires d'un jeune homme qui quitte tout pour se réfugier dans son village natal manque d'assurance et de souffle, étant limité par des dialogues trop écrits et des situations tirées par les cheveux. **1/2
Si l'on reconnaît une grande honnêteté et une certaine originalité au Love Projet de Carole Laure, reste que ce film choral sur des jeunes artistes de 20 et 30 ans qui aspirent au bonheur demeure extrêmement superficiel et d'un intérêt très inégal. De bons comédiens et de spectaculaires numéros chantés et dansés ne font pas le poids devant le ridicule de certaines situations.
Sortant quelques jours avant l'Halloween même s'il n'est ni effrayant ni particulièrement gore, Horns d'Alexandre Aja est une sorte de Twin Peaks pour les pauvres, où les habitants d'une petite ville deviennent fous devant un homme qui est accusé du meurtre de son amie de coeur. Daniel Radcliffe a beau livrer une bonne performance, la satire tombe rapidement à plat. **
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