Qu'il soit bon ou mauvais, le film qui choque est généralement le long métrage que les gens vont se rappeler longtemps. Que ce soit pour des raisons politiques ou religieuses, de sexe ou de sang, tout est mis en oeuvre pour traumatiser irrémédiablement le cinéphile.
J'ai pu discuter de cet art avec le cinéaste Abel Ferrara (Bad Lieutenant) lors de son récent passage à Montréal où il est venu présenter son controversé Welcome to New York. Mon entretien se trouve sur le site de Cineplex.
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