Au sein des meilleurs cinéastes russes, on cite généralement Eisenstein et Tarkovski mais presque jamais Alexandre Dovjenko. Pourtant, son chef-d'oeuvre La Terre rivalise avec n'importe quel classique soviétique, autant au niveau des thèmes (la division de la terre, le communisme naissant, le clivage entre les classes sociales) que de la technique (pleine de virtuosité pour 1930, avec ses images poétiques et son atmosphère qui donne parfois la chair de poule). Peut-être faudrait-il le redécouvrir pour se rendre compte de l'importance de cet opus phare du septième art. *****
lundi 15 juillet 2013
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