Dernier volet d'une formidable trilogie sur la guerre, Germany, Year Zero montre un Roberto Rossellini qui tente de pousser encore plus loin le style néoréalisme qui a fait sa marque de commerce. Un brin moins authentique mais tout aussi bouillant d'émotions, plus dramatique mais pas moins humain, cette chronique d'une région dévastée et d'une famille séparée dont un petit garçon cherche à recoller les morceaux bouleverse et captive en un rien de temps. ****
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