De la neige, de la neige! C'est tout ce qu'on désire en cette période de canicule. Le premier long métrage de Jim Jarmusch, Stranger than Paradise, lauréat de la Caméra d'Or à Cannes, en propose. Mais il y a beaucoup plus que ça dans ce petit film d'art et d'essai tourné en noir et blanc et séparé en trois volets. Il y a l'absurdité du monde réel, des échanges cultes entre personnages paumés, des paysages magnifiques et une trame sonore inoubliable. Il y a aussi la naissance d'un grand cinéaste qui fait beaucoup avec peu, forgeant les premières pierres d'un univers décalé mais essentiel. ****
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