Le grand cinéma japonais ne se limite pas seulement à Kurosawa et à Ozu. Kenji Mizoguchi a pondu son lot de classiques, comme Sansho sur les tourments de deux enfants esclaves qui cherchent à s'émanciper et à retrouver leurs parents. Un mélo aussi magnifique à regarder qu'émouvant à ressentir. Chaque scène hante le cinéphile, le renvoyant vers un nouveau nirvana de sensations fortes. Surtout qu'il y a tellement de dialogues brillants que l'on peut sortir dans à peu près n'importe quelle situation. Une saga magistrale, parfaite pour s'initier à l'art d'un grand maître du septième art. *****
dimanche 10 juin 2012
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire