Le cinéma de Jean-Jacques Beinex est un des plus emblématiques des années 1980, ayant instauré le style publicitaire extrêmement léché. Dans son fabuleux exercice de style Diva, il se prend parfois pour Antonioni, trouvant toutes les munitions nécessaires pour inspirer Quentin Tarantino avec ses répliques cultes, ses personnages qui semblent sortir d'une bande dessinée, son look unique et ses scènes d'action éblouissantes. Surtout que le long métrage demeure cruellement d'actualité, s'intéressant aux conséquences d'enregistrements pirates sur la vie et la carrière de musiciens. Une oeuvre hors du temps dont il fait du bien d'y revenir. ****
mercredi 6 juin 2012
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