Second volet de la trilogie des Qatsi, Powaqqatsi de Godfrey Reggio n'est pas le plus facile à aimer. Arrivant à peine quelques années après le mythique Koyaanisqatsi, cette façon de faire figurer hommes, nature, transformation et technologie n'est plus nouvelle, au même titre que les mélodies de Philip Glass. Malgré tout, la démonstration engagée touche la cible. Il faut seulement un peu plus de temps que les autres épisodes pour bien saisir la démarche, en laissant si possible le jeu des comparaisons au vestiaire. ***
mercredi 25 avril 2012
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire