Terence Davies aime plonger les cinéphiles dans l'Angleterre de l'après-guerre, où les classes sociales s'érodent et sont sur le point d'imploser. C'est ce qu'il fait dans la magnifique histoire d'amour The Deep Blue Sea qui met en vedette la toujours magnifique Rachel Weisz.
J'ai pu parler avec l'important cinéaste anglais de sa fascination pour le passé, de cette période historique précise, de la pièce de théâtre dont est inspirée ce long métrage et de l'industrie cinématographique britannique.
Mon entrevue se trouve dans les pages du Métro Montréal.
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