Dernier tome de Godfrey Reggio, Naqoyaqatsi a été mal accueilli à sa sortie. S'il est effectivement difficile d'innover après les deux premiers épisodes qui combinaient avec bonheur images fantasmagoriques et musique grandiose de Philip Glass, ce volet ultime arrivait à aller ailleurs, notamment dans sa façon de décrire et d'agencer la violence et la guerre aux mentalités de l'être humain. La charge n'est pas toujours subtile, mais l'hypnose est totale. ***
jeudi 26 avril 2012
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