Fable humaniste qui fait pleurer presque du début jusqu'à la fin, Au hasard Balthazar est la principale source d'inspiration de War Horse. On y suit un âne qui change de famille, des gens prenant soin de lui et d'autres le maltraitant allègrement. Sauf que Robert Bresson n'est pas Steven Spielberg. Au lieu de forcer la dose, le maître français interroge la bonté et la méchanceté qui se cachent chez l'être humain, offrant une oeuvre d'une puissance dramatique incommensurable qui n'a d'égal que le hennissement de son pauvre héros. De quoi se rappeler le restant de nos jours de cette fable simple mais ô combien puissante. *****
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