Le film de procès est à la mode ces temps-ci dans le cinéma français. Je le jure sort quelque peu du lot en se mettant du côté des jurés, ce qui en fait un proche cousin de 12 Angry Men et Jury N 2. Centré autour de parole (jusqu'à en aseptiser la mise en scène), le récit n'en demeure pas moins fascinant dans sa façon de décortiquer l'humanité et son milieu social. Mis en cause pour une affaire de viol par un des techniciens du long métrage, le réalisateur Samuel Theis (Petite nature) a terminé le tournage à distance. ***1/2
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