Replonger dans le passé fait parfois mal. C'est le cas de Guillaume Canet avec Mon idole (2002), son premier long métrage en carrière en tant que réalisateur. Voilà une oeuvre grotesque et énervante, qui critique la société du spectacle en demeurant plus vulgaire que drôle, multipliant les poncifs jusqu'à plus soif. On a vraiment pitié pour le magnifique casting en place. **
vendredi 20 mars 2020
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