À partir d'une histoire vraie (une femme est tenue captive par une tribu nomade), Raymond Depardon signe avec La captive du désert (1990) une fiction de toute beauté. Une fresque contemplative sur le temps qui passe, qui n'explique ni ne psychologise rien, préférant au contraire l'hypnose des paysages et, surtout, l'utilisation d'une lumière exceptionnelle, qui montre l'Afrique comme peu d'oeuvre auparavant. Une odyssée sous le soleil qui fait un bien fou en cette période de l'année. ****
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