À travers ses films intimes et minimalistes, Rick Alverson traite de la dérive du rêve américain. C'est le cas de The Builder (2010) où son héros barbu est incapable de se construire un avenir, au sens propre comme au figuré. Le cinéaste dépouille au maximum son style jusqu'à l'ennui, laissant défiler ses images plein de sens sur des mélodies obsédantes afin de capter tous les mystères de la vie, à la fois palpable et insaisissable. ***
mardi 17 mars 2020
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire