Une très jolie rétrospective accordée au cinéaste Jacques Doillon devait se dérouler jusqu'au 28 mars à la Cinémathèque québécoise (mais elle est annulée à cause du coronavirus). On a notamment pu (re)voir l'excellent La Puritaine (1986), une relation père/fille hors norme qui se déroule dans les arcanes du théâtre. Une artificialité voulue et constamment renouvelée au détour d'un récit tragique et ambigu, porté par la magnitude de ses interprètes (Piccoli, Bonnaire, Azéma). ****
dimanche 15 mars 2020
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