Sorte d'émule du cinéma de Woody Allen, Permission de Brian Crano pousse des trentenaires à désirer l'herbe du voisin qui serait évidemment plus verte. Entre drame et romance, le récit sonne rarement juste, alternant les moments enivrants à ceux carrément énervants. L'interprétation inégale, la fadeur de quelques échanges et la mise en scène sans relief ne sont pas là pour aider. **
mercredi 4 avril 2018
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