Parfois, mieux vaut jamais que tard. C'est la réaction qu'on a devant Passengers, cette superproduction de science-fiction de Morten Tyldum (Imitation Game) qui s'est complètement plantée lors de sa sortie au cinéma en décembre 2016. En voulant être à la fois une comédie, une romance, un drame psychologique, un suspense et un film d'action, le nanar se perd dans la stupidité de son scénario et ses scènes d'action mal foutues (sauf celle en apesanteur), alors que la chimie inexistante entre Chris Pratt et Jennifer Lawrence est loin d'arranger les choses. Surtout, le long métrage légitime les actions d'un homme qui, réveillé trop tôt sur un vaisseau spatial, décide de faire subir le même sort à une pauvre femme, broyant du coup son avenir. En cette ère de #metoo, c'est d'autant plus impensable. *1/2
lundi 9 avril 2018
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