Mis à part La vache que je me réserve en DVD et Boo! A Madea Halloween de Tyler Perry qui n'a bénéficié d'aucune projection de presse, j'ai pu voir les 8 autres nouvelles sorties au cinéma. Qu'est-ce qui mérite l'investissement de temps, d'efforts et d'argent?
Opus féministe sur une famille israélienne, Sand Storm d'Elite Zexer passionne dans sa confrontation de moeurs et de valeurs malgré un sujet qui a déjà été traité auparavant. ***
Ouija: Origin of Evil de Mike Flanagan est la rare suite qui est meilleure que son prédécesseur. C'est tordu et efficace à défaut d'être terriblement original. ***
Ma critique
Ouija: Origin of Evil de Mike Flanagan est la rare suite qui est meilleure que son prédécesseur. C'est tordu et efficace à défaut d'être terriblement original. ***
Ma critique
Sensible documentaire sur des gens qui n'ont pas le choix de quitter un hébergement alternatif qui va se faire démolir, Manoir de Martin Fournier et Pierre-Luc Latulippe n'évite pas l'anecdote pour heureusement se concentrer sur les souffrances lors de son émouvante dernière ligne droite. ***
Sur les traces d'Arthur de Saël Lacroix a le bénéfice de faire découvrir un dessinateur trop peu connu. Il le fait toutefois avec trop de têtes parlantes et trop peu de folies propre à son sujet. **1/2
Sur les traces d'Arthur de Saël Lacroix a le bénéfice de faire découvrir un dessinateur trop peu connu. Il le fait toutefois avec trop de têtes parlantes et trop peu de folies propre à son sujet. **1/2
Récit atmosphérique sur le passage de deux adolescents à l'âge adulte, Mean Dreams de Nathan Morlando commence plutôt bien pour sombrer dans les invraisemblances. Quel dommage! **1/2
Sorte de série B peu crédible mais divertissante à ses heures, La chasse au collet de Steve Kerr fracasse deux univers de qualité variable au détour d'une intrigue éparpillée dont la finale ne peut que ravir. **1/2
Nouvelle comédie sous fond d'espions, Keeping Up with the Joneses de Greg Mottola est une production paresseuse et rarement comique qui trouve le moyen de saboter un étincelant casting. **
Ma critique
Autant le premier était fort agréable, autant Jack Reacher: Never Go Back d'Edward Zwick sent la redite à plein nez, se perdant au sein de tous ses clichés. Même Tom Cruise méritait mieux. **
Ma critique
Ma critique
Autant le premier était fort agréable, autant Jack Reacher: Never Go Back d'Edward Zwick sent la redite à plein nez, se perdant au sein de tous ses clichés. Même Tom Cruise méritait mieux. **
Ma critique
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