Une dizaine de films - et on ne compte même pas The Accountant, la grosse sortie américaine - prennent l'affiche cette semaine, alors que le Festival du nouveau cinéma n'est pas encore terminé...
On s'arrangera toutefois pour aller voir American Honey, l'immense fresque d'Andrea Arnold qui est aussi libre qu'essentielle. En voilà un qu'on retrouvera dans notre top 10 de fin d'année. ****
Très jolie animation dans un style russe et scandinave rétro, Tout en haut du monde de Rémi Chayé plaira à coup sûr aux petits et aux grands avec son scénario émouvant. ***1/2
Immense succès en France, Merci patron! de François Ruffin est un documentaire social ironique qui débute comme un banal Michael Moore pour se muter en quelque chose de plus puissant. ***
Autre docu sur "le vrai monde", Le peuple interdit d'Alexandre Chartrand fait rêver avec son message un brin verbeux sur l'indépendance en Catalogne et sa superbe première scène. Dès le 17. ***
Clairement inspiré par le cinéma de Terrence Malick (qui agit comme producteur), The Vessel est un premier film prometteur de la part de Julio Quintara qui interroge le rôle de la foi chez l'humain. La finale s'avère décoiffante. ***
Rare fiction émanant du Yémen, Moi Nojoom, 10 ans, divorcée de Khadija Al-Salami traite d'un sujet nécessaire en étant parfois plus sincère que crédible et en demeurant pas trop manichéen. ***
Ce désir de changement se retrouve également au coeur de Unlocking the Cage de Chris Hegedus et D.A. Pennebaker qui offre un combat probant de la cause animale en oubliant malheureusement qu'on se retrouve au cinéma. Du 17 au 20. **1/2
Ce désir de changement se retrouve également au coeur de Unlocking the Cage de Chris Hegedus et D.A. Pennebaker qui offre un combat probant de la cause animale en oubliant malheureusement qu'on se retrouve au cinéma. Du 17 au 20. **1/2
Inspirant documentaire sur les gens d'un quartier qui se mobilise, Le chantier des possibles d'Ève Lamont est ampoulée par une narration maladroite et une réalisation qui manque quelque peu d'imagination. Dès le 18. **1/2
On s'attendait au pire devant Radin! de Fred Cavayé. Cette comédie qui met en vedette un Dany Boon plus sobre que d'habitude s'avère plutôt rigolote. Dommage que le dernier quart d'heure vienne tout saboter. **1/2
Plus maîtrisé que son précédent Transit, Generation Wolf de et avec Christian de la Cortina laisse malgré tout sur sa faim. Après une première moitié psychologique plutôt intéressante, le second tronçon détruit tout avec son action rudimentaire et son suspense à l'emporte-pièce. **
Le thème de l'intimidation en milieu scolaire derrière 1:54 est essentiel. Le souffle vient toutefois à manquer dans ce long métrage de Yan England qui possède d'immenses lacunes scénaristiques. Lorsque le dramatique se veut humoristique, il y a un grave problème. **
Le thème de l'intimidation en milieu scolaire derrière 1:54 est essentiel. Le souffle vient toutefois à manquer dans ce long métrage de Yan England qui possède d'immenses lacunes scénaristiques. Lorsque le dramatique se veut humoristique, il y a un grave problème. **
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