Alexandre Sokourov n'est pas le plus grand cinéaste russe pour rien. Son imaginaire fige le temps et invite au rêve. Son style reconnaissable entre tous sature les images qui envoûtent allègrement. Dans Père et fils, il présente un duo fusionnel qui n'aura aucun autre choix de se séparer. La méditation, lente et progressive, est peuplée d'ellipses fascinantes où le spectateur ne peut que se perdre pour mieux se retrouver par la suite. Un opus majestueux à décortiquer avec soin. ****
dimanche 25 septembre 2016
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