Il n'y a pas seulement Juste la fin du monde (***1/2, ma critique) de Xavier Dolan qui prend l'affiche cette semaine au cinéma. Plusieurs autres titres apparaissent également sur le radar québécois.
Joyeuse animation de Nicholas Stoller et Doug Sweetland, Storks fera rire petits et grands malgré des morales extrêmement douteuses sur la nécessité d'avoir toujours plus d'enfants. Parce que le reste est rigolo et mignon tout plein. ***
Remake musclé mais inutile d'un western des années 60, The Magnificent Seven d'Antoine Fuqua a beau être techniquement au point et compter sur une distribution choc, il ne réserve aucune surprise, aucun moment qui sort réellement du lot. **1/2
Entre western de vengeance, comédie noire, satire, mélo et romance exacerbée, le stylisé The Dressmaker de Jocelyn Moorhoue refuse de choisir, se perdant allègrement et ennuyant plus souvent qu'autrement. Kate Winslet, brillante, méritait décidément mieux. **1/2
Dans la lignée de L'étudiante et Monsieur Henri, Adopte un veuf de François Desagnant est une autre farce quelconque sur la nécessité de briser la solitude. Rien ne vole haut et c'est toujours dommage de voir de bons interprètes saboter leur talent. **
Au sein du "documentaire" Être et devenir de Clara Bella, envoyer ses enfants à l'école est mal alors que faire l'école à la maison est mieux. Il n'y aucune nuance, aucune autre discussion à avoir et c'est bien dommage. Qui n'est pas Captain Fantastic qui veut. *1/2
Disponible sur vidéo sur demande, Moments of Clarity de Stev Elam s'avère une farce insignifiante sur la différence et le monde qui nous entoure. La réalisation rivalise de médiocrité avec le script et les comédiens sont laissés à eux-mêmes. *1/2
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