De tous les films qui portent sur le merveilleux univers du septième art, Bellissima de Luchino Visconti est un des plus décapants. Entre satire et néoréalisme italien, à la fois comique et dramatique, ce récit sur une femme qui obsède sur les chances de son enfant de faire du cinéma est mené par une performance plus grande que nature de Anna Magnani qui est aussi renversante qu'exaspérante. Une oeuvre dont on ne sait pas nécessairement comment prendre et c'est tant mieux. ****
lundi 12 septembre 2016
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire