Spécialiste du film politisé, Masaki Kobayashi propose avec Black River une métaphore du Japon de l'après guerre avec cette population locale qui est dépendante d'un propriétaire étranger. Oeuvre noire sordide où l'amour de deux jeunes gens sera mise à l'épreuve, le récit s'il n'est pas totalement satisfaisant saura en séduire plus d'un avec son ambiance ponctuée de pièces jazz. ***1/2
dimanche 4 septembre 2016
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