On ne connaît jamais réellement sa famille. C'est ce postulat de base qui est au coeur de The Automatic Hate de Justin Lerner, un récit fauché mais généralement intéressant sur un jeune homme qui découvre l'existence d'une cousine qui lui demande de l'aide. Un féroce côté satirique ressort de ce drame à saveur shakespearienne et si l'ensemble aurait pu être bien plus enlevant, il n'en demeure pas moins valable. ***
mercredi 14 septembre 2016
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