Une jeune inconnue sème le trouble chez la famille qui l'accueille. Une prémisse qui fait penser, évidemment, à Pasolini. Mais également à Bunuel qui, avec Susana, se faisait la main en attendant ses classiques à venir. Sans posséder l'ironie glaçante de ses plus grandes fresques, cette charge contre la bourgeoisie est bien aiguisée et elle rappelle comment l'amour peut bousiller les plus belles relations entre les gens. Du cinéma mordant, bien réalisé et exécuté, où il manque seulement ce grain de folie qui fait toute la différence. ***1/2
jeudi 10 septembre 2015
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