Bergman qui rencontre Fellini, Antonioni et Sirk. Fassbinder est parvenu à le faire avec son superbe et grotesque mélodrame The Bitter Tears of Petra Von Kant où il montre des relations d'ennui et de dominances entre différentes femmes. À la fois cinématographique et théâtral, ce fascinant exercice déboussole complètement, multipliant les jeux de miroir pour rendre le cinéphile béat d'admiration. Il est aisé de se perdre dans cette magnifique fresque et de toujours trouver quelque chose de nouveau. ****
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