Redécouvrir les vieux documentaires de Werner Herzog, c'est plonger dans un univers sans ligne narrative classique, alors que l'on passe son temps à tout déchiffrer et à interpréter... et c'est loin d'être une vilaine chose. Dans son très spécial Fata Morgana qui est séparé en trois actes, la nature sauvage et humaine ne font pas toujours bon ménage, ce que l'on comprend dès cette introduction bizarroïde d'un avion qui n'arrive jamais à atterrir. Une fois ce test passé, on entre dans le vif du sujet, de cette prison à ciel ouvert et de ce temps qui semble glisser continuellement. L'exercice pourra en irriter plus d'un, mais il est souvent fascinant. ***1/2
mardi 1 septembre 2015
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