Jubilation Street n'aurait pu qu'être un film de propagande, alors que des résidents japonais sont invités à délaisser leurs terres afin d'aider l'effort de guerre. Mais dans les mains de Keisuke Kinoshita, cela devient quelque chose de plus complexe, arrivant avec son montage précis et le soin apporté aux personnages à se rapprocher des conflits intrinsèques à l'âme humaine. Une fois passée une première partie qui tient davantage à l'écart, on embrasse plus facilement les quêtes et aspirations de ces êtres dont le désarroi touche profondément. ***1/2
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