Déjà dans son film de fin d'études, The Steamroller and the Violin, Andreï Tarkovski avait à coeur l'âme de ses personnages, la nature qui les entoure et le spectre délicat de la mère qui voit et entend tout. Si l'ensemble bouge beaucoup plus que dans ses classiques, il n'en demeure pas moins que cette amitié entre un jeune violoniste et le conducteur d'un rouleau compresseur touche énormément par sa simplicité et sa candeur. ****
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