Les visions de l'apocalypse se suivent et ne se ressemblent vraiment pas. Dans l'élégant H. de Rania Attieh, il y a des phénomènes inexpliqués, des disparitions, des yeux rouges qui apparaissent et des bébés qui se tiennent dans l'ombre. Tout cela sous fond de statues grecques qui vont et viennent dans des décors magnifiques. Porté par une trame sonore enveloppante et une mise en scène alerte, le récit séparé en deux tronçons n'est malheureusement pas du même calibre. Tout ce qui touche cette vieille femme aux lubies laisse grandement à désirer, alors que l'intérêt est foudroyant lorsqu'il est question de ces deux artistes au bord de la séparation. On en ressort donc étonné et un peu déçu de ne pas avoir assisté à quelque chose de plus probant. ***
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