Yasujiro Ozu n'est pas seulement le maître des récits familiaux sous fond de mariage. Dans les années 30, il réalisait également des films noirs et des polars en s'inspirant d'Hollywood. Sans être totalement maîtrisé, Walk Cheerfully est un bel exemple de ce croisement de genres, alors qu'un malfrat cherche à changer de vie pour impressionner une jeune femme qui fait battre son coeur. Une fois passée une incroyable introduction qui rappelle M de Lang, le récit se développe de façon attendue, sans passion ni ennui. Une mise en bouche plus qu'acceptable en attendant quelque chose de plus nutritif. ***
jeudi 17 septembre 2015
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