Reconnu pour ses drames et ses suspenses, Pedro Almodovar a longtemps été reconnu comme le prince de la comédie tordue et sexuelle. Kika en est un bon exemple, plongeant ses personnages névrosés dans des quiproquos qui les dépassent. Avec sa réalisation volontairement kitsch, ses interprétations relevées et ce ton qui tire sur tout ce qui bouge (on note en passant la jouissive critique de la télévision à spectacle), le long métrage qui tourne parfois à vide fait sourire en plus d'une occasion. ***
mardi 7 avril 2015
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