Prendre congé en s'initiant à l'univers unique d'Hirozhi Shimizu, c'est être capable de toucher la grâce et la quiétude. Comme ses prédécesseurs, Ornamental Hairpin plonge dans la solitude de quelques exclus, touchant le drame léger, la comédie cocasse et le romance mignonne sans nécessairement choisir son clan. En filmant ses êtres de devant, en multipliant les personnages pour mieux recentrer ses thèmes par la suite, le long métrage enchante amplement sans être majeur ou nécessaire. Il est seulement beau à voir aller, avec son humanisme et sa naïveté. ***1/2
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