Comme souvent chez les grands réalisateurs, les derniers films sont autobiographiques. C'est le cas pour Akira Kurosawa qui parle des conséquences de la Seconde Guerre mondiale et de la nécessité de se souvenir dans son très beau Rhapsodie en août. Sans égaler ses classiques, cette oeuvre fine, un brin didactique et moralisatrice mais toujours efficace, se découvre comme un poème sincère qui va droit au coeur. ****
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