Déjà sur Törst en 1949, on retrouve l'essence des plus grandes fresques d'Ingmar Bergman: ces personnages tourmentés par leur passé, ces secrets dissimulés qui volent au grand jour et ces amours qui ne peuvent se matérialiser. L'ensemble bouge peut-être trop, la réalisation est sans doute trop complexe et la finale âpre surprend et pas toujours de la bonne façon. Sauf que d'ici là, on obtient un long métrage mélancolique à souhait, qui ne tarde pas à séduire. ****
vendredi 3 avril 2015
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