Dès ses premiers films, Ingmar Bergman était intéressé par un cinéma au féminin, tragique et implacable. C'était le cas de Port of Call, un drame sur une pauvre demoiselle malchanceuse qui palpe finalement le bonheur par l'entremise d'un marin. Bien entendu, tout ne se déroulera pas comme prévu... Une prémisse vieille comme le monde qui est dotée d'une maîtrise formelle plus qu'appréciable. La fin laisse à désirer, ce qui est tout le contraire du jeu intense des interprètes. ***1/2
vendredi 24 avril 2015
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