Ces dernières années, le cinéma de Catherine Breillat n'a pas été à la hauteur de son talent, ayant touché le fond avec La belle endormie. Sans parler de grand crû, Abus de faiblesse qui développe une relation sado-maso entre une actrice malade et un ex-détenu est largement supérieur. Les personnages opaques manquent de profondeur et le ton n'est pas toujours soutenu. On sent cependant que la réalisatrice s'investit dans ce projet, faisant un plein d'ambiance et d'atmosphère, confiant à Isabelle Huppert un nouveau rôle difficile où elle s'en sort encore avec les lauriers. **1/2
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