À la croisée de Frankenstein, Les yeux sans visage et Seconds se trouve The Face of Antoher d'Hiroshi Teshigahara, qui s'intéresse aux tribulations d'un homme défiguré qui porte un masque à l'apparence humaine. Comme toujours chez le maître cinéaste, sa mise en scène est fabuleuse, avec ses nombreux jeux de miroir et son noir et blanc somptueux. La trame narrative est cependant un peu dispersée même si elle questionne les fondements de l'identité et elle n'arrive pas à égaler La femme des sables, le grand classique du réalisateur. Cela n'empêche pas le récit de séduire amplement. ****
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire