Le réalisateur belge Vincent Lannoo aime provoquer et déranger. C'est d'autant plus vrai en regardant Au nom du fils, qui s'attaque à l'Église à grand coup d'humour noir. Si la farce tend à s'étirer et à tirer sur tout ce qui bouge, elle n'en demeure pas moins féroce et réjouissante. Le scénario est bien ficelé et l'interprétation, assez relevée. ***
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