Le cinéma québécois est de plus en plus tourné vers le monde, l'extérieur, l'étranger. Arwad de Dominique Chila et Samer Najari ne fait pas exception, racontant l'adaptation d'un homme à son nouveau pays. La structure temporelle étudiée contraste avec une réalisation souvent trop sage, et la lourdeur du sujet est généralement excusée par la précision de l'interprétation. S'il n'y a rien de véritablement marquant au tournant, l'exercice demeure poignant et pertinent. ***
samedi 12 octobre 2013
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire