Parfois, le montage d'un film fait toute la différence. C'est d'autant plus le cas dans Bad Timing de Nicolas Roeg qui joue magnifiquement avec la temporalité, présentant une sombre histoire d'amour entre deux amants. Avec son ton lancinant, sa musique mélancolique, ses élans de sexualité et ses personnages énigmatiques, il est difficile de ne pas être attiré par cet univers si particulier. Et même s'il y a quelques longueurs au compteur, la fascination opère aisément. Surtout devant ce flic décalé incarné par Harvey Keitel, ce héros joué par Art Garfunkel (oui, le chanteur!), et cette femme fatale campée avec fougue par Theresa Russell. ****
lundi 1 avril 2013
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire