Quelque part entre les univers de Lynch et de Gilliam se trouve The Reflecting Skin, un «vieux» film de 1990 de Philip Ridley sur l'enfance malheureuse d'un petit garçon qui croit dur comme fer que sa voisine est un vampire et qu'elle est responsable des calamités qui touchent sa famille. Poétique, lyrique et brutal, ce récit fascinant et foisonnant d'une grande beauté picturale happe de spectateur qui voit ses convictions secouées longtemps avant la fin. L'interprétation y est irréprochable et c'est le genre de titre à sortir devant les amis, seulement pour faire preuve d'originalité. ****
lundi 29 octobre 2012
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