Présenté aujourd'hui à 17h30 au Cinéma Impérial dans le cadre du Festival du nouveau cinéma, The Land of Hope ne ressemble à rien à ce que le cinéaste Sion Sono a l'habitude de faire. Il n'y a pas de sang et scènes malsaines, mais plutôt un monde dévasté. Celui du Japon après la catastrophe de Fukushima, et particulièrement de trois couples qui vivent la situation de différentes façons. Volontairement naïf, faisant alterner le drame avec quelques éclaircies comiques, le long métrage tarde à prendre son envol. Mais lorsqu'il le fait, l'émotion finit par arriver, comme rarement dans le cinéma de Sono. Sa mise en scène aurait peut-être mérité un soin encore plus grand, sauf que son évolution est de plus en plus palpable. ***
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