Pour la Fête nationale du pays (pas le Québec, l'autre à côté), pourquoi ne pas revoir un des meilleurs films canadiens des dernières décennies? Et oui, l'on parle ici de l'éblouissant The Sweet Hereafter, l'effort le plus maîtrisé d'Atom Egoyan qui parle de deuil et de mensonges en faisant pleurer à chaudes larmes pratiquement du début à la fin. Il y a la neige pour refroidir en ces temps de canicule, la mise en scène somptueuse qui alterne entre les périodes de temps, la musique lyrique qui va droit au coeur, les sujets qui font réfléchir et, bien entendu, le jeu parfait de tous les comédiens. Un véritable classique qui n'a toujours pas pris une ride. ****1/2
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