Il y a des sujets forts qui sont littéralement brûlés par la faiblesse de leur mise en scène et des prestations inégales de leur distribution. 11/25 The Day Mishima Chose His Own Fate du réalisateur culte Kôji Wakamatsu s'inscrit dans cette mouvance. Raconter la fin de la vie du célèbre écrivain Mishima qui a troqué la littérature pour la résistance est fascinant, tout comme l'inclusion d'images d'archives. Le film s'inscrit parfaitement dans son époque même s'il s'est déroulé 40 ans plus tôt. Cependant, en tant qu'objet de cinéma, le long métrage fait pitié. Sa réalisation est rudimentaire, son traitement extrêmement brouillon et le spectateur n'arrive jamais à comprendre ce qui motivait son protagoniste. Au lieu d'être complexe, Mishima est décrit comme un être en une seule dimension qui fonce, tête baissée, vers l'abattoir. De quoi vouloir revoir la beaucoup plus réussie version de Paul Schrader. **
P.S.: Oui, c'est promis, demain, je vais parler de The Dark Knight Rises avec une longue critique!
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