Bien avant la vague de films apocalyptiques des dernières années (Turin Horse, Melancholia, Take Shelter, Kaboom), Bergman était déjà passé par là en signant avec Shame une oeuvre austère mais essentielle sur un couple apolitique qui est plongé en plein cauchemar alors que leur île est prise d'assaut par des forces «obscures». La beauté des images contraste avec les thèmes sombres et les enjeux moraux qui ne tardent pas à hanter. Les interprètes jouent parfaitement leurs partitions et si le maître se retrouve en terrain connu, il n'y a jamais de sentiment de redite. L'idéal pour commencer la semaine sur une bonne note. ****1/2
dimanche 8 juillet 2012
S'abonner à :
Publier des commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Publier un commentaire