Secrets, mensonges, infidélité: voici quelques thèmes omniprésents dans la filmographie de Claude Chabrol qui sont à nouveau à l'avant-plan dans Au coeur du mensonge, un polar matinée d'humour noir où un peintre est accusé d'avoir violé et tué une jeune fille. Plus l'enquête progresse et plus c'est cette petite communauté éloignée qui passe au banc des accusés, le réalisateur s'amusant à décortiquer les rouages d'une bourgeoisie morbide. Sans être un grand crû, l'exercice captive sans mal, surtout que les interprètes (Bonnaire, Gamblin, Bruni Tedeschi) sont bien dirigés. ***1/2
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